Ah, cet instant où le désir nous fait basculer quitte à devoir nous recoiffer ensuite…
Ces fois où l’autre est si parfaitement beau et impeccable qu’on n’a qu’une envie : malmener sa tenue pour accéder à ce qu’elle cache d’encore plus beau.
Si je vous ai froissée, ma douce, c’est que je n’y tenais plus !